/// Publi-rédactionnel ///

« Cette journée du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, était pour nous l’occasion parfaite de vous réunir pour vous remercier du travail que vous accomplissez au quotidien. Professionnelles discrètes, les rares fois où nous avons l’occasion de vous rencontrer, c’est lorsque vous changez de flotte. Loin des clichés, vous êtes de vraies business women et vous méritez d’être chouchoutées ! » C’est par ces paroles de bienvenue que Laurent Guiral, directeur du réseau G7, a accueilli, le temps d’un après-midi, les femmes chauffeurs de taxi affiliées G7 dans un studio photo à Montreuil, pour célébrer la Journée internationale des droits des femmes. Nous avons eu la chance de pouvoir les rencontrer et d’échanger avec elles lors de ce moment de détente.

Avec G7, être taxi est une passion en commun.

Taxi(e)
« On ne se connaît pas. C’est un métier très masculin et lors des rassemblements, nous sommes toujours noyées au milieu de nos collègues. Cette invitation est un bon moment d’échanges », se réjouit Isabelle, chauffeur depuis 18 ans. «Je suis venue pour faire connaissance », renchérit Prisca. Née à Madagascar, Prisca est diplômée d’études supérieures en mathématiques et en physique. Souhaitant compléter sa culture parisienne, elle devient chauffeur de taxi… C’était, il y a 19 ans. Aujourd’hui, cette chef d’entreprise souriante et déterminée se plaît à travailler « dans la plus belle ville du monde ! ». « Je ne regrette pas d’être entrée dans cette profession », ajoute Raja, taxi depuis 10 ans. « Avant, je gérais l’activité d’un traiteur oriental. J’avais un très bon relationnel avec les clients. C’est une copine taxi qui m’a ouvert sur ce métier à la mesure de mon caractère. » Pour Sive, qui vient d’acquérir sa licence, « le taxi est une étape ». C’est également une histoire de famille car ses 2 frères et ses cousins sont chauffeurs G7.
Liberté chérie !
« Devenir taxi, c’est des larmes et de la sueur mais c’est le prix de la liberté », témoigne Mariama. « Je suis motivée par l’objectif de faire moi-même mon salaire. Nos horaires sont modulables. De plus, meilleur est l’accueil, meilleurs sont les pourboires ! » ajoute Raja. Malgré l’adaptabilité du métier, il n’est pas toujours évident de concilier vie professionnelle et vie familiale : « C’est plus facile lorsque les enfants sont grands car c’est un métier très prenant. » Sur leurs collègues masculins, les anecdotes fusent : « Les comportements peuvent varier de la misogynie aux attentions de chevaliers servants… ». Même s’il faut parfois jouer des coudes pour se faire sa place, elles témoignent de vrais moments d’entraide. «Certains collègues sont là lorsque l’on rencontre une difficulté, et c’est le principal », souligne Mariama.

G7 a invité les femmes chauffeurs affiliées pour partager un moment fort en convivialité !

G7 au féminin
Même si les stéréotypes ont la peau dure, le métier évolue. « Les femmes ont de grands atouts dans ce métier car il nécessite beaucoup de patience et de tact afin de bien accompagner la course. Il faut s’adapter au client et ne pas oublier que l’on n’est pas dans sa voiture mais dans sa boutique », explique Hanane, taxi depuis 7 ans. « Je travaille de nuit et j’ai parfois été obligée de faire de la discipline avec certains clients mais G7 aide à évincer les irresponsables. » « Si on a peur, on ne fait rien dans ce métier », ajoute Setti. « La vulgarisation des paiements en carte bleue est un réel changement pour notre sécurité. L’application mobile et la solution de paiement G7 Connect apportent un confort supplémentaire grâce à la dématérialisation sécurisée des paiements », complète-t-elle. Soulignant à l’occasion de cette première rencontre la qualité de leur prestation, G7 a invité ses partenaires féminins à participer aux instances de concertation du réseau afin d’améliorer leur représentativité. Un nouveau jalon pour la parité dans la profession !