Christophe Najdovski, adjoint au Maire de Paris, hèle un taxi via l’application de la Mairie de Paris PARIS TAXIS. Il est entouré à sa Jean Benet de la Préfecture de police de Paris, André Dorso du ministère de l’Intérieur et de Christophe Jacopin, Alpha Taxis /// Photos E. Frezza – Gescop.
Déjà disponible à Montpellier, Marseille, Aix-en-Provence, La Rochelle et Rennes, l’interface publique de mise en relation le.Taxi qui permet aux clients de héler numériquement les véhicules disponibles à proximité s’est ouverte à Paris. Lancé officiellement le 20 juillet à l’Hôtel de Ville en présence des représentants de la mission gouvernementale, de Christophe Najdovski, adjoint au Maire de Paris ainsi que de Jean Benet, directeur des Transports et de la Protection du public à la Préfecture de police de Paris, le.Taxi a reçu l’engagement des taxis associés Gescop – Alpha Taxis. Commentaires de Christophe Jacopin, directeur-gérant.
100% économie collaborative
« Nous appelons toutes les sociétés de taxis et les chauffeurs à titre individuel à s’inscrire dans l’open data le.Taxi afin de contribuer au rayonnement des taxis à Paris », a invité Christophe Jacopin lors de l’annonce publique de l’ouverture du registre numérique des taxis parisiens. Symbole de l’esprit coopératif dans le taxi, la Gescop et sa plate-forme dédiée Alpha Taxis ont décidé de donner l’exemple dans la capitale. « Compagnie pionnière dans le processus, nous avons accompagné nos 1500 chauffeurs de taxi afin qu’ils puissent être tous opérationnels techniquement sans surcoût pour eux », témoigne Christophe Jacopin. « L’open data à Paris, les taxis comme les Franciliens l’attendaient depuis longtemps L’une des plus belles villes du monde se devait d’offrir une visibilité électronique aux taxis qui sont les ambassadeurs de la capitale. C’est pourquoi Gescop – Alpha Taxis n’a pas hésité à devenir le premier partenaire de l’open data développé par l’État : un système garant de la sécurité et de la transparence pour les taxis comme pour les consommateurs. »
Nouvelle façon de travailler
« Héler un taxi dans la rue via son smartphone, c’est un moyen de choisir le taxi le plus proche de l’endroit où vous vous trouvez en réduisant le nombre de kilomètres parcourus. Pour Gescop – Alpha Taxis, l’open data représente également un outil pour contrecarrer la concurrence déloyale que nous subissons depuis trois ans. Cette présence numérique nous permettra également de faire connaitre Alpha Taxis. C’est une source de courses supplémentaires, sans frais d’approche pour le client, qui s’ajoute au travail en station et par réservation », explique Christophe Jacopin.
C. Jacopin, Alpha Taxis
Coopérer à la mobilité
« Côté Ville de Paris, la mise en place de l’open data a permis de refondre totalement l’application Paris Taxis lancée en 2014 et dont la première version avait une portée limitée car elle ne permettait que d’appeler un taxi en station. Avec la loi Thévenoud, le cadre juridique a changé et la possibilité de héler un taxi en mouvement est devenue possible, tout en gardant la possibilité de contacter un taxi en station, voire de joindre une borne d’appels. Autre innovation majeure : Paris Taxis pourra être utilisée sur l’ensemble du territoire national. À Lyon par exemple, les taxis disponibles enregistrés sur le registre national de disponibilités des taxis seront visibles grâce à Paris Taxis. Afin de faire connaître l’appli, nous envisagerons à la rentrée des opérations de communication grand public », annonçait Christophe Najdovski, adjoint au Maire de Paris. Les chauffeurs au rendez-vous, c’est désormais sur de gros efforts de communication et d’information grand public que repose la réussite du dispositif. La balle est désormais entre les mains des plates-formes numériques et de leurs experts marketing !
HM
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